Ils sont devenus les nouveaux boss, ils sont devenus des journalistes de « renommés », ils sont devenus des patrons. Ils gueulent à tout vent, au nom de la liberté d’expression. Eux, se sont des personnes que facebook à donner le pouvoir : celui de manipuler les faits, de tordre le cou à la vérité. Ils se savent lus par des esprits incrédules, manipulables et sans esprit de discernement. Tenez ses justiciers d’un autre genre ont appelé ça Kongossa Bar, Cash Investigation, Abategate….
La puissance des réseaux n’est plus à démontrer, la preuve, ils font bouger les lignes, une simple dénonciation attire l’attention des hautes autorités, certains ici, qui peinent à se retrouver dans ces nouveaux médias. Ils ont pourtant eu recommandation de les rejoindre, question d’être proche de la cible, de mieux véhiculer la politique de leur institution.
Nous pouvons vous affirmer mordicus, que c’est grâce aux réseaux sociaux que vous avez votre magazine chaque mois. Il y’a des gens qui ont cru en nous et nous permettent de vous tenir ce beau magazine, qui chemine depuis deux ans sans sponsors. Grâce à la puissance des réseaux sociaux, ont tient le cap. Chap Chap magazine, c’est plus de 210 000 personnes qui nous lisent tous les jours,plus de 1700 tweets depuis le début de l’année, plus de 392 000 lecteurs sur www.chapchapmag.com, deux groupes sur facebook et plus de 9000 fans sans sponsoriser la page en deux ans. Voilà aussi notre puissance démontrée.
Mes amis en attendant savourant notre version mobile disponible sur www.mboastore.cm, la première application pour un magazine en Afrique centrale. Tenez mes amis, elle a battu le record de téléchargement sur cette boutique des applications mobiles. Voilà notre puissance démontrée, où sont les sponsors ? Bonne fête aux enfants africains
Peace and Love
Joseph DZENE !